2009-04-20 05:54:41

Dernier Hommage à notre rédacteur en chef, Francesco_Sforça

Geneve(AAP)- Notre rédacteur en chef Francesco_Sforza n’est plus.

Fransesco, rédacteur de l’Agence Acilion Presse (AAP) lorsque celle-ci fut mise hors d’état de publier lors du grand tremblement de terre (la V3), il en reprit les rennes et en relança la publication malgré de nombreux soucis technique et financier. En effet, il n’avait pas de quoi payer les rédacteurs qui travaillaient pro bono, les presses étant endommagées, les articles sortaient truffés de symboles cabalistiques et aucun crieur n’annonçait la sortie des nouveaux articles qui passaient donc inaperçus ! Malgré tout cela, il se découragea pas et réussi à développer l’AAP au point d’avoir besoin de recruter deux co-rédacteurs en chef. Et c’est aujourd’hui, maintenant que l’AAP fonctionne à nouveau parfaitement grâsce aux nouvelles presses enfin livrées par le Roy lui-mesme, que Francesco_Sforza est frappé par le sort.

Au delà du rédacteur en chef de l’AAP, c’est aussi un hommes aux multiples facettes qui disparaît. Francesco sforza était un théologien réformé. Il a lutté pour la défense des libertés là où il vécut. D'abord en Provence, puis en l'abbaye de Tastevin, où il défendit les moines contre les persécutions de l'Eglise. Rejeté improprement de cette institution, il passa par le Languedoc pour s'établir en Confédération helvétique, où il joua un grand rôle. Ses décisions permirent à la Confédération de croître et prospérer jusqu'à l'état où on le connaît aujourd'hui. Combattant farouchement les ingérences étrangères, il combattit pour la dernière fois en faveur de la liberté lorsque Pontarlier fut prise par l'armée nobiliaire franc comtoise.
Au cours de sa vie, Francesco combattit également des groupes séparatistes, comme la fameuse "noblesse noire".

Au delà de l’homme public connu et reconnu qu’il fut, sa face sombre affleure au travers de son histoire. Il aurait en effet trempé dans une affaire obscure où il fut accusé d’un vol spectaculaire de 38.000 écus dans les caisses confédérales helvètes, en octobre de l’an de grâsce 1456, avec la complicité du bailli confédéral helvète Mittys, également appelé M. Schmitt.

Homme d’ombre et de lumière, Sforza restera pour nous tous, l’homme qui a relancé l’AAP.


Nsaymar, pour l’AAP